Novateurs chacun à leur manière, ces peintres ne sont pas des « post- »romantiques : le nom de « néo-romantiques » leur a été attribué par le directeur de la revue Formes, le critique français d’origine polonaise Waldemar-George, alors qu’André Chastel parlait plutôt à leur propos de « néo-maniéristes » après l’exposition qui avait réuni en 1926 à la galerie Druet de jeunes peintres, le Français Christian Bérard, la discrète Thérèse Debains, des Russes exilés à Paris, Pavel Tchélitchew (1898-1957) et les frères Eugène et Léonide Berman, le jeune Hollandais Kristians Tonny avec l...
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Article publié dans le n°1252 (18 avril 2023) de Quinzaines
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