En France, hormis quatre ou cinq œuvres qui ont connu une mise en scène mémorable, l’ensemble de ce répertoire est aujourd’hui quasiment inconnu. Bien sûr, on connaît Faust, Volpone, et cette émouvante Duchesse de Malfi que Matthias Langhoff tenait sous le feu des caméras avant que le procédé ne devienne un cliché, ou la non moins émouvante « Putain » dont l’amour incestueux défie tous les impératifs moraux et sociaux. Le terme « théâtre élisabéthain » est un chapeau commode mais trop étroit, car en réalité, l’ouvrage dépasse largement le règne d’Élisabeth co...
Shakespeare n'était pas seul
Article publié dans le n°1008 (01 févr. 2010) de Quinzaines
                                        Théâtre élisabéthain                                    
                                    
                                
 
                 
        
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