Une présence manquera bien évidemment à ce millième numéro, celle d’Anne Sarraute. Je pense souvent à elle depuis notre dernière rencontre en juillet 2008, aux côtés de Maurice Nadeau dans les bureaux de La Quinzaine littéraire, deux mois avant sa disparition. Depuis l’année 2000 que je collabore à la revue – c’était pour présenter une nouvelle traduction du Brouillon général de Novalis –, sans doute intimidé par Maurice Nadeau, vivant trop loin aussi pour pouvoir passer fréquemment au 135, rue Saint-Martin (ce que j’ai fait plus tard plusieurs étés de suite), c’est à t...
Un échange
Article publié dans le n°1000 (01 oct. 2009) de Quinzaines
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