Nous sommes en Toscane, à la fin du XXe siècle, auprès de Marian, magistrate italo-américaine qui s’apprête à couvrir le procès d’un Arménien de quarante ans, Marco Ipranossian, accusé d’avoir tiré sur un préfet. Les preuves manquent, le doute s’installe et alors que Marco attend en prison la décision de justice, la vie, elle, continue. Il y a Léa, la fille de Marian, lycéenne par devoir et passionnée de sculpture qui se précipite deux fois par semaine dans un atelier de Carrare, « à la fois fournil de boulanger, plâtrière et lune », pour y tailler la pierre...
Ce qui demeure
Article publié dans le n°1052 (01 janv. 2012) de Quinzaines
Carrare
(P.O.L.)
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