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Vargas Llosa et son traducteur

Même si l’on n’approuve pas sans réserve l’ensemble de ses options politiques néolibérales et leurs implications économiques, nul ne songera à discuter le bien-fondé du prix Nobel de littérature attribué en 2010 à Mario Vargas Llosa. Son œuvre de romancier est considérable dans les deux sens du terme, par sa valeur et par son abondance.
Mario Vargas Llosa
Le rêve du Celte (Gallimard)
Albert Bensoussan
Ce que je sais de Vargas Llosa (François Bourin)

D’emblée, dès La Ville et les Chiens (1963) il avait su mettre à profit sa triste expérience juvénile d’un collège militaire de Lima et son apprentissage récent des techniques narratives nord-américaines pour un livre qui prenait le lecteur à la gorge. Quatre ans plus tard il publie, avec le bref récit intitulé Les Chiots, une fiction construite sur le croisement subjectif et objectif de la parole, qui demeure encore aujourd’hui d’une audace confondante en son efficacité inouïe. Il fait alors indubitablement figure d’écrivain d’avant-garde. Presque dans le même temps le...

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