Il arrive, l’âge aidant, qu’on puisse ressentir le besoin de s’interroger sur le chemin parcouru. De faire le point, autrement dit. La question s’est posée pour Jil Silberstein, et avec elle, celle du lieu. Il aurait pu choisir de rester chez lui, à Lausanne. Puis, finalement, après quelques hésitations, Thessalonique s’est imposée à lui avec une certaine évidence. Une ville frontalière, au bord de la mer Égée, à la croisée de l’Occident et de l’Orient, de l’Anatolie et du monde slave. Une ville qu’il connaissait déjà comme en témoigne sa collection d’anciennes cartes postal...
Écrire Thessalonique
Article publié dans le n°1268 (01 sept. 2025) de Quinzaines
Thessalonique, dans le flux des vivants et des morts
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