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Écrire Thessalonique

Poète, chroniqueur, essayiste et critique littéraire, lauréat du Prix Schiller, Jil Silberstein est également traducteur de Georg Trakl, Czesław Miłosz et Lawrence d’Arabie. Le nouveau livre de Jil Silberstein peut se lire de deux manières : soit comme un récit qui rend hommage à une ville aimée, Thessalonique ; soit comme une façon de porter un regard rétrospectif ou introspectif sur sa vie.
Jil Silberstein
Thessalonique, dans le flux des vivants et des morts

Il arrive, l’âge aidant, qu’on puisse ressentir le besoin de s’interroger sur le chemin parcouru. De faire le point, autrement dit. La question s’est posée pour Jil Silberstein, et avec elle, celle du lieu. Il aurait pu choisir de rester chez lui, à Lausanne. Puis, finalement, après quelques hésitations, Thessalonique s’est imposée à lui avec une certaine évidence. Une ville frontalière, au bord de la mer Égée, à la croisée de l’Occident et de l’Orient, de l’Anatolie et du monde slave. Une ville qu’il connaissait déjà comme en témoigne sa collection d’anciennes cartes postal...

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