Ceux qui sont pris par la fièvre du voyage et qui ont lu Nicolas Bouvier connaissent bien l’adage : « C’est la contemplation silencieuse des atlas, à plat ventre sur le tapis, entre dix et treize ans, qui donne ainsi l’envie de tout planter là[1] ». L’Usage du Japon ne déroge pas à cette règle. Dès que l’avion survole les côtes japonaises, l’auteur est exalté. Il observe attentivement « la délicate guipure du littoral, la ter...
Éloge d’un monde flottant
Article publié dans le n°1266 (10 avril 2025) de Quinzaines
L’Usage du Japon. Une traversée de l’archipel à vélo
(Stock)
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