L’homme qui avait écrit en 2005 la fable des Intermittences de la mort se trouvait ainsi confronté à celle-ci et, remis sur pied in extremis, se replongeait aussitôt dans l’écriture à peine entamée du roman qui nous parvient aujourd’hui où se manifeste un certain changement de tonalité, au-delà des singularités syntaxiques ou orthographiques qui lui sont habituelles.
La parabole qu’il affectionnait souvent est en effet ici abandonnée au profit d’un récit d’itinéraire sur toile de fond historique qui nous conduit d’un lieu à l’autre, d’une aventure à la suivante ...
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