Selon Henry James, maître en comparaison internationale, il peut arriver au voyageur de gagner en brusquerie ou bien en sophistication, c’est selon, et ses expatriés, de boudoirs en salons, de promenades en flâneries, vont apprendre l’art et la manière, le langage du cœur et de l’esprit, pour dire élégamment leur vague à l’âme devant les paysages et l’histoire du Vieux Monde déroulée à leurs pieds : Les Ambassadeurs, roman préféré de James, pèlerin transatlantique qui sillonne l’Europe en famille dès 1855, avant d’y revenir seul à maintes reprises, paraît en 1903. Pour Cynthia O...
Lorsque Paris n'est plus une fête
Article publié dans le n°1058 (01 avril 2012) de Quinzaines
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