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Une Irlande pluvieuse et neigeuse à souhait où les mortels passent d’oublis en rappels, de méprise en whiskey. Attentes, contentieux des fratries, tumulte des bons sentiments, tout va-t-il se solder la nuit de Noël ? Jennifer Johnston feint de le faire croire, mais l’essentiel est ailleurs.
Jennifer Johnston
Un noël en famille

Enfant de la balle avec une mère comédienne et metteur en scène, un père brillant écrivain de théâtre, Jennifer Johnston, qui a tout de même écrit cinq pièces de 1981 à 1996, place son roman dans l’ombre des Masques de Shakespeare et dans le creux de cette réplique de Puck à Obéron, roi des Elfes : « Lord, what fools these mortals be ! », que la traduction de Jules et Jean-Louis Supervielle rend par « Mon Dieu ! Que ces mortels sont bêtes ! » (Le songe d’une nuit d’été, III, 2, 115).

L’on s’en souvient, le roi Obéron par l’entremise de Puck, son Rob...

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