La « perfection » supposée de cette nuit-là est celle que transmet la télévision – « l’empire de l’instantané », ainsi que le nomme la narratrice – lors d’un de ces spectacles collectifs conduits par un animateur en un ciné-théâtre de la Lisbonne d’aujourd’hui. Au cours de cette émission, peut-être du fait du hasard ou selon un pari implicite des responsables du spectacle, vont se retrouver des personnes qui s’étaient perdues de vue depuis longtemps et qui en éprouvent des sentiments mêlés. Plus d’un lecteur reviendra sans doute de même, en fin de parcours, à ce préam...
Quand l' "avant" et l' "après" se bousculent
Article publié dans le n°1057 (16 mars 2012) de Quinzaines
La nuit des femmes qui chantent
(Métailié)
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