Solo se présente, comme une partition de musique, en deux mouvements. Le premier, La vie, dont les titres des chapitres sont directement issus de la table de Mendeleïev, est hanté par les souvenirs du vieil homme. Ulrich vit à Sofia, dans un vieil immeuble soviétique, près de la gare routière et dont les murs font office de pissotière aux voyageurs de passage. Sa passion inassouvie pour la chimie l’a rendu aveugle, solitaire et passablement déprimé. Il vit seul, aidé par ses voisins et contemple sa vie passée, qui lui a doucement échappé, bo...
La réalité chimique du temps
Article publié dans le n°1057 (16 mars 2012) de Quinzaines
Solo
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