Et devenir le plus féroce pourfendeur du totalitarisme maoïste, qu’il rangea logiquement à la suite du nazisme et du stalinisme. Mais cet homme des Antipodes, qui écrivait depuis l’Australie où l’Université avait accueilli son précieux savoir, était peu entendu en France – un Belge, par ailleurs (comme Michaux, qu’il encensa, et Simenon, qu’il minora) –, jusqu’à ce scandale télévisé sur le plateau d’Apostrophes, en 1983, qui opposa le sinologue, traducteur de Confucius (2) et distingué calligraphe, à Maria Antonietta Macciocchi, retranchée derrière son ouvrage (De la Chine
Simon Leys au-delà des Antipodes
Article publié dans le n°1130 (16 juin 2015) de Quinzaines
Quand vous viendrez me voir aux antipodes - Lettres à Pierre Boncenne
(Philippe Rey)
Le Parapluie de Simon Leys
(Philippe Rey)
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