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Herta Müller raconte le suicide d’une jeune femme dans la Roumanie des années Ceausescu. Elle montre une nouvelle fois les terribles conditions de vie des Allemands du Banat auxquels les séides du régime communiste infligent les pires humiliations et châtiments. Comme dans ses précédents romans, le Prix Nobel de littérature 2009 fait naître de ce petit monde sans horizon une langue toute empreinte de poésie.
Herta Müller
Animal du coeur

Depuis que l’Académie suédoise du Nobel l’a récompensée il y a deux ans et demi, les lecteurs français découvrent au compte-goutte l’œuvre singulière de Herta Müller. Née dans un pays qui en raison de son origine la considère comme un agent de « la cinquième colonne », l’auteure allemande a subi de plein fouet, comme d’autres membres de la minorité germanophone du Banat, la violence du régime Ceausescu. En 1987, elle prend le chemin de l’émigration, emportant les souvenirs d’une dictature qui vit ses derniers instants. En effet, au terme d’une parodie de procès, Nicolae et Elena Ceausesc...

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