Sur le même sujet

Des poèmes parmi les vivants

Claude Adelen, poète rare, n’avait jusqu’alors publié qu’une douzaine de volumes. Entre adieu à la poésie et célébration de sa persistance, il construit un recueil dont les hommages sont des invites implicites à la faire vivre.
Claude Adelen
Ode au vent tardif

Le mot ode du titre du recueil affirme la dimension lyrique de la poésie de l’auteur, « sans poétisme » : pas question ici de s’épancher sur des éléments trop intimes. Le vent représente autant le souffle poétique d’un printemps tardif, maintenu, que celui qui jadis emporta les amis de Rutebeuf.


Nous renouons dans ce livre avec la singularité de la voix de Claude Adelen, poète, « homme-livres » qui pratique le collage de différentes façons. On lit des citations, parfois signalées parfois totalement intégrées à son propre poème. Il reve...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi