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Faire une poupée semblable à la dame

 La Poupée de Kokoschka, un premier roman d’une jeune Québécoise qui vit à Paris. À soi seul, le propos suffit à attiser l’imagination. On est à Munich, à la fin de la Première Guerre mondiale. Alma Mahler a quitté le peintre Oskar Kokoschka. Incapable d’accepter la rupture, ce dernier passe une stupéfiante commande à une marionnettiste : il veut qu’elle lui fabrique une poupée en tout semblable à la dame. Histoire vraie qu’Hélène Frédérick s’approprie pour en faire un roman singulier qui d’emblée emporte son lecteur.
Hélène Frédérick
La poupée de Kokoschka

Du 13 juin 1918 au printemps 1919, la marionnettiste Hermine Moos – tel était effectivement son nom – rédige son journal. Elle l’écrit en secret et le cache à ses proches. Trop intime et politiquement dangereux. Hermine est juive. La défiance, elle connaît : « Heinrich, sois prudent. Mon père mitraillé par sa propre artillerie, par erreur, dans les premiers mois de la guerre, devant Ypres. Souviens-toi de mon frère abattu, traité par ses confrères de “sale Juif déserteur” pour avoir cherché comme tant d’autres à fuir le bain de sang. Le suicide de ma mère. » Il lui reste une jeu...

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