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Histoires à coucher dehors

    Michelle Perrot plaide son « incompétence » ! Souhaitons qu’en la matière, celle dont elle se targue ainsi – p. 386, note 62, de son livre – se répande. Par ces temps de sottise, c’est ce que l’on peut souhaiter de mieux pour la psychanalyse en provenance du monde des lettres.

Il faut prendre les intellectuels à la lettre, qu’ils soient écrivains, historiens ou même qu’ils s’autorisent de la qualité d’analystes. Les uns couchent sur le papier ce qui leur passe par la tête, les seconds couchent sur leur divan ceux qui viennent leur raconter ce qui leur passe par la tête.


Les analystes, depuis Lacan, enfin ceux qui se réclament de son enseignement, y tiennent à cette affaire de l’inconscient structuré comme un langage parce qu’elle a tout de même révolutionné la psychanalyse mieux que les malédictions et autres condamnations sa...

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