A lire aussi

Livres des mêmes auteurs

Il y a quelque chose de pourri sur les rives du Bosphore

Leyla est le prénom d’une vielle aristocrate qui se retrouve sur le trottoir avec sa valise, au pied d’un yali, belle villa en bois, le long du Bosphore, à Istanbul. Elle refuse de quitter les lieux et d’abandonner la petite maison qui se trouvait dans le jardin. Ces yali, qui ressemblaient parfois à de petits palais, ont connu des sorts divers. Beaucoup ont été volontairement délaissés puis cédés à des promoteurs avides qui les ont détruits. Certains furent préservés et restaurés. Celui que Leyla habitait dans son enfance est intérieurement dévasté pour satisfaire au goût de nouveaux riches.

Zülfü Livaneli est un chanteur compositeur, cinéaste et romancier, « ambassadeur de bonne volonté » à l’Unesco. Il œuvre pour la tolérance et le renforcement des liens gréco-turcs. Il a connu la prison et l’exil en Suède, au moment du coup d’État militaire de 1971. Son roman a, incontestablement, un petit accent balzacien car il pointe nombre de problèmes et de contradictions de la société turque d’aujourd’hui. Sans lourdeur aucune, il aborde, au fil du récit, travers et transformations d’une ville-monde et d’une bourgeoisie nouvelle qui s’impose inexorablement avec sa co...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi