Ce récit pseudo-autobiographique de friponneries et d’escroqueries en tout genre, sur le mode de la satire, était naguère, en nos lycées, sous forme de morceaux choisis, un passage obligé de l’enseignement de l’espagnol, une langue vouée désormais en classe à la portion congrue et dont on médite, semble-t-il, de se passer. Peut-être la lecture du Buscón serait-elle désormais aussi mal vue en haut lieu que celle de notre malheureuse Princesse de Clèves, mais pour des raisons inverses : comme un miroir grotesque et mal intentionné, une caricature hors de propos.
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