Qu’on ne s’attende pas, en lisant Werner Kofler, à suivre une histoire linéaire, avec des personnages aux identités bien définies, dans une époque ou une situation historique fidèlement rendues à travers des descriptions impeccables. Nous sommes, avec Derrière mon bureau, comme avec Automne, liberté publié chez le même éditeur l’an dernier (1), à mille lieues de cette pratique de la littérature pour laquelle compte la fidélité au réel et au possible. Werner Kofler explore au contraire, dans une ascension vertigineuse, ce qui reste, sur un plan littéraire, irrep...
Un texte plein de crevasses
Article publié dans le n°1013 (16 avril 2010) de Quinzaines
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