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Une femme et ses losers

Oya Baydar est sociologue, et cette profession se reconnaît et s’apprécie dans son dernier ouvrage, qui brosse un portrait historique et psychologique de la Turquie de 1970 à 2000. Il y a quelque chose de balzacien dans ce roman-somme fort bien équilibré entre émotion et Histoire. Les personnages ont une vraie épaisseur humaine dans un cadre politique qui les façonne, les use et les détruit.
Oya Baydar
Et ne reste que des cendres

41690

Le personnage principal, Ülkü, est une femme de la petite classe moyenne, au caractère bien trempé, intellectuelle, sensuelle et lucide. Elle rencontre deux hommes qui incarnent des aspects opposés de la réalité turque. Son grand amour, Arin, est le fils d’une grande famille bourgeoise, sa destinée est toute tracée par sa mère. Diplomate, homme d’État, il monte rapidement dans la hiérarchie. Élégant, brillant, arriviste, il se cantonne dans les sphères pensantes pour éviter de s...

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