J’ai rencontré Werner Kofler après avoir suivi une espèce de jeu de pistes. Il était en vérité comme l’un de ses personnages, caché dans l’un de ses livres, toujours fuyant. On m’a guidé jusqu’à lui à travers une série de « contacts » (comme dans les romans policiers qu’affectionne l’auteur autrichien), d’abord son traducteur, puis une amie de Kofler (qui lui a transmis un mail, car il n’a pas d’ordinateur). Suite à cela, l’amie obtient son autorisation de me communiquer et son adresse postale et son numéro de téléphone privé… Ce n’est que le début de mon enquête pour arriver j...
A Vienne avec Werner Kofler
Article publié dans le n°1047 (16 oct. 2011) de Quinzaines
Hôtel clair de crime. Triptyque alpestre II
(Absalon)
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