« L’œuvre de Savitskaya tient à la fois de l’escalier et de la spirale. Vertige ! Vertige ! On y avance à l’aveuglette, à l’alouette, à la couette ! », écrivait le poète Jacques Izoard (3) à propos de celui qu’il découvrit en 1972, qui devint son ami et avec qui il écrivit des textes à quatre mains. « Ambiguë », « hermétique », « ouverte », « indéterminée », l’œuvre de Savistskaya ? Tout et rien de cela à la fois, bien sûr.
Fragments, poèmes en prose, récits, ou courts manifestes, Le Fou civil (le livre a été écrit six ans...
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