Tout ne se serait peut-être pas passé ainsi si cette passante anonyme du port ne s’était pas « vautrée » dans cette eau, « à 7 h 20 du matin, a fortiori le jour de la rentrée des classes » ; si l’absurde de la situation, dont ce matin-là il a été le seul témoin, n’avait pas rendu Paul profondément fier « de n’avoir pas porté secours à cette jeune femme, qui, de toute évidence, n’en avait pas besoin », et profondément malheureux en même temps. Mais, puisque la journée commençait de la sorte, sous le signe de la coïncidence et de l’absurde, il fallait peut-être a...
Sous le signe de l'innocence
Article publié dans le n°1134 (01 sept. 2015) de Quinzaines
Changer d'air
(Minuit)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)