La femme, une fois de plus, au cœur de l’œuvre, ou plutôt trois femmes : Bridget la grand-mère, Dilly la fille, Eleanora la petite-fille. D’autres figures féminines à l’arrière-plan qui, sœur Consolata mise à part, peinent à acquérir la densité nécessaire pour emporter l’adhésion du lecteur. La femme et la mort : l’entrée en matière est une entrée en clinique, où Dilly va mourir d’un cancer des ovaires ; le voyage en taxi est une occasion de « causer de mourants, de mort, en roulant, pas uniquement des vieux, mais des jeunes pris dans la fleur de l’âge ». Commence pour elle une rétrospec...
Une brûlure inguérissable
Article publié dans le n°1024 (16 oct. 2010) de Quinzaines
Crépuscule irlandais (The Light of evening)
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